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Du jeudi 04 mars 2021


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Sommaire

Article 1 : OTAGES ET COBAYES

par Jean-Jacques REY

Article 2 : APPEL AUX SACRIFIÉS

par Serge RIVRON

Article 3 : MATRAQUAGE MÉDIATIQUE ANXIOGÈNE

par Laurence LEROY 

Article 4 : LA MACHINE QUI FAIT DE NOUS DES ANIMAUX D'ÉLEVAGE

par Fred BOUTET

Article 5 : CONSTATS SUR L’ORGANISATION VACCINALE EN FRANCE

par Guy CREQUIE



Article 1





Image de foule masquée, stressée, épiée par caméras dans univers gris.

Image satirique d'androïde infirmière avec seringue,prélevant organes.


OTAGES ET COBAYES
 
 
 

   Nous ne sommes pas encore au stade de la Birmanie, mais la démocratie s’effiloche en France, et des observateurs internationaux le notent. En fait cela fait un moment déjà qu’en la matière, la situation se dégrade. D’états d’urgence pour terrorisme en états d’urgence pour motif sanitaire, le filet de protection des libertés, dans l’état de droit, s’est décousu pour laisser place aux grilles de l’arbitraire. Leurs pouvoirs accrus, les carriéristes de la haute administration ne s’embarrassent guère de scrupules : premier souci, se mettre à l’abri d’éventuelles poursuites et accessoirement se simplifier la vie, tant pis pour l’inconfort et la précarité des conditions d’existence de nombre de concitoyens. Ainsi, avec un simple arrêté, fondé sur des statistiques sujettes à caution, un préfet peut-il asphyxier la vie quotidienne : par exemple, en décrétant le port du masque obligatoire dans l’espace public, même dans des rues désertes ou isolé en plein champ, en plein vent ; ceci, sur un département entier : du bord de mer au jardin public, tout seul au milieu des plantes ! Voilà qui est complètement déplacé et grotesque, digne d’un régime dictatorial, et la Justice administrative suit (à quelques rares exceptions près).

   On s’aperçoit même que cette fameuse constitution de la Cinquième République Française n’est qu’un livre pieux tout rempli d’addenda, escamoté dans un tabernacle et laissant tout nu le corps social, à la merci du Pouvoir étatique où l’exécutif a le beau rôle, surtout quand le parlement est à sa dévotion et sert de chambre d’enregistrement… Les interventions épisodiques du Conseil Constitutionnel n’entravent pas les grandes orientations et ne sanctionnent que des dérapages manifestes, et encore, s’ils sont dûment signalés !

   Le peuple serait souverain ?! Mon œil !

   Il sert plutôt d’otage et de cobaye, soumis au caprice d’un pouvoir quasiment monarchique. Nous n’avons pas fait notre deuil du « Roi Soleil », sous la Cinquième République, qui convient tant aux traîne-godillots de l’assentiment obséquieux : une longue tradition en France pour des fractions importantes de la population qui nous ont invariablement amenés à des situations critiques… : (consultez les manuels d’histoire, les nôtres, et accessoirement ceux d’autres pays) !

   Alors évidemment, dans un tel contexte, si un pitre comme Sarkozy parvient au poste suprême, nous devenons la risée du monde entier, et à l’intérieur, souffle, un vent de catastrophe ; qu’entre parenthèses, nous payons encore aujourd’hui : telle la Révision des Politiques Publiques qui explique entre autres, la ruine de l’Hôpital public…

   Il faut en finir avec ces technocrates qui étouffent et déshabillent le pays : impactant ses forces vives dans moult domaines et en particulier sa jeunesse (ne parlons pas des institutions européennes qui aggravent) ! Ils gagnent en influence dès que la démocratie s’étiole, en ce cas aujourd’hui sous prétexte de pandémie.

   Le sentiment cultivé de la Peur a assez duré, il ne fait vivre que les pauvres en esprit et les sangsues qui en profitent. Chaque jour, sort, un nouveau motif de crainte et d’accablement (au sujet des asymptomatiques, des variants, des vaccins, des indicateurs et des tests et tutti quanti !) Ils sont vaporisés avec délectation, et peut-on croire, les hypocondriaques sont devenus une cible de choix pour les marchés et les autorités. Nous pouvons compter sur les médias inféodés pour entretenir le suspense, c’est même devenu leur cœur de métier ! Croient-ils maintenir ainsi leur audience ?! Moi, j’en doute, et, à la place des publicitaires, je me ferai quelque souci… Car le degré de saturation atteint un haut niveau dans la population, particulièrement dans le dit Occident. La preuve est que « tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse » ! Et la sacro-sainte consommation pourrait fléchir, pouvoir d’achat ou pas. À force de plomber la joie de vivre (ne parlons pas ici d’espérance) on finit par constiper l’envie : un peu logique, très humain, mon cher majordome !

   Et les bêtes à néologismes vont encore parler de « complotisme » pour évacuer la question, c’est plus facile à faire que de la prospective, seraient-ils capables de ramer à contre-courant ! …

   Il faut reconnaître que le Pouvoir -politique-, en ce début 2021,  a pris
récemment une orientation qui s’écarte des vues des Cassandre et sirènes constipantes, désireuses de conseiller mais devenant agitatrices, avec des oracles dramatisants, pondus à la chaîne. Heureusement pour la collectivité nationale, est apparue, cette lucidité soudaine ; car la science des « constipateur-trice-s » en question ressemblerait plutôt à celle des médecins d’antan. Leur premier éclairage thérapeutique, à ces sinistres, vaut pour une nécessité des saignées au malade…et à l’échelle d’une nation entière ; donc, pour parler net, on arrête tout et spécialement de vivre en société et "viva la muerte" illico presto ! Peut-être bien aussi, certains "philanthropes" voudraient nous pousser à devenir des cobayes humains et là, véritablement, à nos risques et périls !

   Si on doit payer au juste prix les compétences, la santé ne devrait pas être un prétexte à s’enrichir… En la matière, il y a drôlement à améliorer au point de vue éthique, et la liberté d’entreprendre doit s’y soumettre, si la spéculation reste désintéressée.

   Il y a de multiples raisons pour déplorer la situation actuelle et les évolutions qui y ont mené, dont la principale est d’aller contre la Nature (surexploitation des ressources, pollutions, concentrations urbaines et industrielles, etc.) ; mais je voudrai insister sur une de ces raisons, qui ne sera évidente que pour ceux préférant observer certaines valeurs de société : nous payons aujourd’hui et peut-être encore plus demain, les monceaux d’idioties des politiques néolibérales qui ignorent des lois bien plus prégnantes que celles des marchés.





Toujours pareil à l'antienne, mais une petite idée (toute petite) des informations qui passent à la trappe à longueur de temps, volontiers méprisées par le secteur "Mainstream" des médias (complètement miné, le pauvre ! ) ; mais qui dérangent sans doute quelques "grands esprits" con-formés... 
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VIDEO EN ACCES LIBRE :

Un point de vue belge sur la Covid : Ceci n’est pas un complot, de Bernard Crutzen


https://www.ojim.fr/un-point-de-vue-belge-sur-la-covid-ceci-nest-pas-un-complot-de-bernard-crutzen/

" Réalisateur Bernard Crutzen, financé par réseau participatif.
Depuis Hold Up dont nous avons parlé un certain nombre de fois, de nombreuses vidéos consacrées à la Covid 19 et aux divers­es mesures anti-pandémiques ont circulé. Certaines ridicules, beaucoup insuffisantes tant dans la documentation que dans la réalisation. La vidéo que nous vous présentons a été réalisée par Bernard Crutzen, réalisa­teur de nombreux documentaires : Magritte, Chasseur de pirates, Bruxelles sauvage, Malaria Business, etc… nous livrons ce document à la sagac­ité de nos lecteurs. "

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En appui, pour lecture rapide :


Les chiens de garde médiatiques : une mise en bouche
article/12 février 2021

https://www.kairospresse.be/article/les-chiens-de-garde-mediatiques-une-mise-en-bouche/

" Le documentaire "Ceci n’est pas un complot", de Bernard Crutzen, sitôt déposé sur la Toile, a suscité les foudres de la profession journalistique, à ce détail près que personne à ma connaissance n’a osé le traiter de c…, ce point Godwin à la mode. Et pour cause, tout est référencé, prouvé, avéré, et le réalisateur s’abstient de toute extrapolation et de toute spéculation. Mais les critiques ont quand même fusé, et mes estimés collègues de Kairos ne manqueront pas aussi de faire le point sur elles bientôt, à leur manière et plus dans le détail. En attendant, en guise de mise en bouche, voici mes propres réponses, en mode "fast-answering", aux questions critiques d’Arnaud Ruyssen, animateur de l’émission CQFD à la RTBF, qui avait promptement réagi sur "fesse de bouc".
A. R. : Peut-on balayer 20.000 morts d’un revers de la main… en les ramenant au fait qu’ils ne représentent « que » 0,17 % de la population belge ?
B. L.  : Au risque de choquer beaucoup de mes contemporains, je répondrai par l’affirmative, si toutefois on part d’un point de vue utilitariste plutôt que déontologique (cf. mon article dans Kairos n° 47, pp. 10 & 11). Mais l’option déontologique est imposée par le gouvernement, les experts et les médias comme l’évidence même en matière d’éthique, avec comme conséquence que l’écrasante majorité de la population belge y adhère, la plupart du temps par défaut.
A. R.  : Pourquoi n’explique-t-on pas que la Suède (citée en exemple dans le documentaire) a abandonné très rapidement son idée d’immunité collective, constatant qu’elle était intenable ?
B. L.  : En deçà du problème de l’immunité collective, la Suède est un des pays d’Europe qui a le meilleur rapport entre nombre de morts et maintien des libertés publiques, ce qui n’est pas négligeable. Autrement dit, sans avoir confiné, couvre-brûlé, masqué, en un mot emmerdé sa population, elle n’a pas connu proportionnellement plus de décès que la Belgique ou la France. "Grattis till Sverige" *, comme on dit en suédois :  * Félicitations à la Suède. ".../...

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TRIBUNE. Le confinement constitue un remède pire que le mal pour la société française

http://www.regards.fr/idees-culture/article/tribune-le-confinement-constitue-un-remede-pire-que-le-mal-pour-la-societe

" Plus de 500 universitaires, scientifiques, professionnels de la santé, du droit, de l’éducation et du social, ainsi que des artistes, se déclarent « atterrés » par des discours officiels qui dramatisent indûment la réalité afin de justifier des mesures de confinement.

C’est un secret de polichinelle : le reconfinement était envisagé depuis l’été dernier. La stratégie de communication du ministère de la Santé s’est déployée autour de cette perspective depuis plus de deux mois, de façon à le faire accepter par la majorité de la population le jour J. Les médias mainstream lui ont fourni une aide décisive. Ils sont le relais et l’instrument privilégiés de cette communication. Et, force est hélas de constater qu’ils jouent très bien le rôle qui leur a été assigné. S’appuyant mécaniquement sur les chiffres, cette communication consiste à ne s’intéresser qu’aux indicateurs les plus alarmants, en les changeant au fil du temps si celui qu’on utilisait ne permet plus d’envoyer le message espéré. Et si un indicateur a une évolution en dents de scie, la communication se fait uniquement les jours où les chiffres augmentent. Il n’y a qu’un seul message possible.

Avant-hier, 27 octobre, la manipulation a encore opéré. La totalité des médias a titré sur les prétendus 523 morts : « Du jamais vu depuis le confinement ». Or ce chiffre était faux. Selon Santé Publique France, il y a eu 292 morts à l’hôpital le 27 octobre, contre 257 la veille (le 26) et 244 (en baisse donc) le 28. Mais l’on ajoute les morts en EHPAD qu’une fois tous les quatre jours en les cumulant. Prétendre compter les morts quotidien ce jour-là revient donc à gonfler artificiellement les chiffres. Et c’est étonnamment ce qui s’est passé la veille de l’allocution annoncée du président de la République, qui a repris à son compte ce chiffre faux. Est-ce un détail ? Non, ce n’est hélas qu’un exemple parmi beaucoup d’autres.
Une deuxième vague prétendue « plus terrible encore que la première »
C’est le président du « Conseil scientifique » (M. Delfraissy) qui le disait il y a quelques jours : arriverait une deuxième vague « plus forte encore que la première » et nous serions déjà dans « une situation critique ». Ce genre de prédiction catastrophiste constitue une manipulation d’un Conseil qui n’est pas scientifique mais politique. .../...

Il serait urgent de revenir à la raison. Selon les chiffres de Santé Publique France, sur les près de 15 millions de tests effectués à ce jour, 93% sont négatifs. Et parmi les 7% restant de la population testée positive, plus de 85% ont moins de 60 ans ; il s’agit donc essentiellement de personnes qui ne risquent pas de faire une forme grave de la maladie. Au final, moins de 1% de la population est donc « à risque » et c’est uniquement elle qu’il faut protéger.
Autre façon de le dire : au cours de la période récente (entre le 1er septembre et le 20 octobre, jour où nous avons fait ce calcul), 7.621.098 personnes ont été testées. Sur cette même période, 38.100 individus ont été hospitalisés (0,5%) et 6.593 ont été admis en réanimation (0,09%) avec un test positif au Covid. En d’autres termes, depuis le 1er septembre, sur cet énorme échantillon de la population de 7,6 millions, la probabilité moyenne pour un individu lambda (sans distinction d’âge ou de comorbidité) de ne pas être hospitalisé est de 99,5% et celle de ne pas être admis en réanimation est de 99,91%.
Justifier le reconfinement de 67 millions de Français sur cette base s’appelle un délire. ".../...

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Les vaccins contre le coronavirus
samedi 13 février 2021

https://mai68.org/spip2/spip.php?article8051

"Je suis un pro-vaccin, mais je ne ferais pas celui-là. De même que je n’ai pas fait le vaccin contre le H1N1 de 2009.
Comment avoir confiance quand "on" nous ment. C’est pas des fake-news gouvernementaux, c’est des MENSONGES ! Le gouvernement nous ment quand il prétend qu’il n’y a pas de médicaments. Il y en a plein : L’hydroxychloroquine, l’azithromycine, l’ivermectine, etc. et encore un, récemment mis au point, qui marche contre tous les virus ARN : le coronavirus, la grippe, l’hépatite C, la dengue ou encore la rougeole : http://mai68.org/spip2/spip.php?article8050
 Mais en plus, je ne suis pas à la base un littéraire mais un scientifique. Et je comprends très bien les arguments de scientifiques qui dénoncent les dangers des "vaccins" ARN .../...

Je vais pas vous mettre tous les liens qui prouvent les dangers des "vaccins" ARN. Mais quand même un qui n’a rien de scientifique mais qui constate les résultats avec une vidéo de l’Eurodéputée Michèle Rivasi, qui dit à 18’32 : « Mes dernières infos viennent de Norvège. Sur 35 000 vaccinés, il y a eu 23 décès. Ils ont pris ces décès, ils ont fait 13 autopsies. Ils en ont conclu que c’était bien dû au vaccin : http://mai68.org/spip2/spip.php?article7794
 L’Angleterre a énormément vacciné avec son "AztraZeneca" qui ne vise que la protéine Spike. Du coup, le coronavirus a évolué en changeant sa protéine Spike et est devenu résistant à "AtraZenecca" : la vaccination massive en Angleterre n’a fait que fabriquer le variant anglais : http://mai68.org/spip2/spip.php?article8040  . Mieux vaut le vaccin chinois "SinoVac" ou "SinoPharm", comme dit Raoult : http://mai68.org/spip2/spip.php?article7889
 Le vaccin chinois est un vaccin a virus entier inactivé, c’est-a-dire qu’il ne vise pas que la fameuse protéine Spike. Il vise par essence TOUTES les protéines du virus. Quand l’immunité contre une protéine ne marche plus, l’immunité contre les autres marchent encore. De plus c’est un vaccin normal : donc sans danger.
Mais essentiellement, il n’y a pas vraiment besoin de vaccin puisqu’il y a non pas un, mais des médicaments très efficaces. D’autant plus que les vaccins contre la seule protéine Spike sont stupides : les coronavirus mutent très facilement comme le montre l’expérience anglaise
. ".../...

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COVID-19 – Le vaccin inachevé…
Par Jean-Loup Izambert et Claude Janvier
Mondialisation.ca, 13 janvier 2021

https://www.mondialisation.ca/covid-19-le-vaccin-inacheve/5652709


" Impossible d’ignorer que Pfizer et Moderna ont créés en moins d’une année un vaccin ARN messager décrit et salué par des médecins, des politiciens et la presse main stream comme révolutionnaire et efficace contre le Coronavirus. Une vraie prouesse ! Et une vaste fumisterie qui cache les objectifs réels de ces  producteurs de « vaccins miracle ». Avec la complicité du gouvernement français.

Tout est bon pour inciter les citoyens à se faire injecter le précieux liquide. Du chef de l’Etat, en passant par les ministres, les parlementaires, les médias et une certaine caste de médecins, la propagande bat son plein. Comme si cela ne suffisait pas, un collectif d’artistes s’est formé afin de marteler le message tout en louant les vertus de ce vaccin. Du reste que connaissent-ils ces artistes du processus de la mise au point d’un vaccin ? Rien ! Strictement rien ! Leur démarche est guidée par le bla-bla des lobbyistes des laboratoires et des toubibs médiatiques comme Karine Lacombe, récemment promue pour recevoir la Légion d’honneur en récompense de … Et bien, bonne question, on ne sait pas. Certainement pour son nombre d’interviews record. Elle va bientôt figurer en pôle position dans le Guinness. Pendant ce temps-là, d’autres docteurs et infirmières travaillant en milieu hospitalier nuits et jours ne bénéficieront pas de la même reconnaissance officielle. Pour ces derniers le pouvoir réserve matraques, gazages, arrestations et amendes s’ils viennent à protester contre sa politique de liquidation du système de santé publique.
Quant aux artistes engagés pour la vaccination, on retrouve entre autre Berléand qui avait dévoilé son mépris pour le peuple et les Gilets Jaunes, et le décevant Grand Corps Malade. En effet, avec sa chanson « Pas essentiel », on s’attendait à plus de réflexion. Ce qui est dommage c’est que tout ce beau monde est fermement persuadé que, grâce à cette vaccination, la vie va reprendre comme avant. Retour à la normale, jouée en partition uniquement pour pipeau et violon !
.../...
Mais revenons à ce vaccin miraculeux fabriqué en moins d’un an. Les chercheurs ont bossé nuit et jour. Quand il y a des bénéfices à faire, pas d’hésitation…
Effets indésirables graves : la question est loin d’être résolue.
Le professeur Raoult que l’on ne présente pas déclare le 8 janvier 2021 que ce vaccin n’est pas la baguette magique qui va arrêter l’épidémie. Extrait de l’article « … Je pense que la plupart d’entre eux (les vaccins) ne présentent pas de risques à court terme. À moyen-long terme, personne ne peut le savoir sur des formes nouvelles (…) »
".../...

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Séparer le bon grain de l’ivraie : La pandémie du Covid-19, la question sociale et de nombreuses interrogations
par Karl-Jürgen Müller.

https://www.zeit-fragen.ch/fr/archives/2021/n-3-16-fevrier-2021/separer-le-bon-grain-de-livraie.html

" La pandémie de Corona a également remis la question sociale à l’ordre du jour. Des études récentes telles que celle de l’organisation mondiale de développement Oxfam (« Le virus des inégalités. Réunifier un monde déchiré par le coronavirus grâce à une économie équitable, durable et juste ») ou des déclarations récentes telles que celle du rapporteur spécial des Nations unies sur l’extrême pauvreté et les droits de l’homme, M. Olivier de Schutter (« L’ UE doit se réinventer pour gagner la lutte contre la pauvreté ») ne sont que deux exemples parmi tant d’autres qui ont fait de ce problème un enjeu.
.../...
Le fossé entre les riches et les pauvres … … est-il surmontable par le capitalisme ?
Le 23 janvier, la NZZ [« Neue Zürcher Zeitung »] a publié un article principal, intitulé « Corona – l’inégalité ». Les diagnostics ressemblaient à ceux de M. Schwab et de M. Malleret, et la conclusion semblait également assez inhabituelle pour les lecteurs de la NZZ  : «Tirer les leçons de cette crise – et mieux préparer la prochaine – signifie de penser au-delà du quotidien pour enfin reconnaître l’inégalité sociale comme un enjeu politique central de notre temps et agir en conséquence. Quant à ceux qui ne se sentent pas concernés par une telle réflexion, la raison les guidera. Et ils arriveront aux mêmes conclusions : la pandémie et ses conséquences seront surmontées lorsqu’elles le seront partout. Toujours est-il que la prochaine crise sera moins rapide et moins profonde si le fossé entre les riches et les pauvres se réduit au lieu de s’élargir». » ".../...


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Article 2

Signalement personnel du 31/01/2021 d'un article par Serge RIVRON  : 
Site : http://srivron.free.fr/






Image d'humain baillonné sous yeux narquois de figurine cubique, fond gris.

Dessin de jeune tête pensive, soutenue par mains, fond vert.


APPEL AUX SACRIFIÉS
 
 
 

Source en ligne : https://lescorpscelestes.fr/lappel-aux-sacrifies-de-rivron-et-sadapter-a-quoi-de-domecq/

Le laïus qui trame l'essentiel des débats et commentaires pérorés dans l'actualité depuis l'invention de la pandémie au covid-19 est aussi massif qu'interminable. Du point de vue discursif, c'est une sorte de chef-d'œuvre, et l'on aurait grand tort de ne pas apprécier cet objet compact, répétitif et qui s'auto-alimente de la peur et des angoisses, dont la logique informative voudrait plutôt qu'il les apaise ou cherche à les apaiser. Comme un véritable trou noir de la cosmogonie mentale de ce début de 21e siècle, il aspire à lui, tel un roman de Houellebecq, tout ce qui passe à sa portée, que ce soit de la pensée, de la science, des humains, ou même des formules, noyant en son centre obscur tout ce qui n'est pas recyclable en menaces à l'adresse du quidam, ou en platitudes obligeantes vis-à-vis du gouvernement-qui-fait-ce-qu'il-peut et qu'on-critique-beaucoup-mais et qu'on-ne-voudrait-pas-être-à-sa-place – pour parler comme Jean-Michel Aphatie, livreur de poncifs comminatoires chez Médias-Soupes.
 

Il est peu de dire que cette péroraison fusille implacablement tout facteur d'espoir, et même toute espérance – cet élan intime qui nous est, pour vivre, aussi indispensable que le souffle. Ceux qui s'y adonnent ont même, en goguenards méphitiques qu'ils sont, forgé le mot rassuristes pour désigner, en les moquant, les rares médecins qui osent proposer à la maladie, en place de moralisme d'impuissance, des traitements plus actifs que patience et Doliprane. Les rassuristes sont ainsi ceux qui rappellent l'évidence que le covid est une maladie, et qu'une maladie est ce qui dérégule un organisme vivant et le fait dysfonctionner jusqu'à la manifestation d'un ou plusieurs symptômes, et non la seule mesure d'une trace virale dans un génome, détectée par un test qui valide 30% de faux positifs. Cette dernière assertion, pour les pratiquants de la doxa médiatique, fait tomber les rassuristes dans le camp des complotistes ; puisque toute tentative d'argumenter pour contester des mesures prônées par Le Haut Conseil Scientifique – ou un de ses synonymes orwelliens – est désormais la preuve d'une maladie mentale ou, au mieux, d'un jugement altéré par une idéologie obscurantiste. On n'a pas le droit de discuter la nécessité d'interdire les rassemblements sur la voie publique, ni celle du port du masque en forêt ou dans des rues quasi désertes. Quant à répercuter des informations pouvant discréditer des mesures gouvernementales, comme les actions en justice contre l'utilisation incorrecte et abusive des tests PCR[1] ou le point hebdomadaire du Professeur Raoult, sans parler, pour un scientifique, d'oser montrer des chiffres attestant de l'intérêt de l'hydroxychloroquine ou de l'ivermectine[2] contre le covid, médicaments pourtant utilisés dans le monde entier, ça vous expose à être accusé tout vif de tentative d'empoisonnement.


Dans ce contexte désolant – entre mensonges et anathèmes distribués à jet continu par les médias stipendiés et leurs journalistes corrompus – du conflit d'intérêts qui règne désormais à tous les échelons, comment ne pas s'apercevoir que notre tant invoquée démocratie n'est plus que d'apparat ? Quand le "quatrième pouvoir", consacré en juillet 1881 par la loi sur la liberté de la presse, est devenu à ce point inféodé au pouvoir régalien[3], quand ses rédactions sont "managées" au su et au vu de tous par des technocrates façonnés par Sciences-Po ou des diplômés d'HEC servis par les valets avides de notoriété et de promotion qu'ils forment et recrutent à volonté, on comprend qu'il soit difficile, voire impossible, à un quelconque discours libre de son estampille au formol de se faire jour.
 

Dans une récente interview[4], le Professeur Perronne martèle cette question : "Où sont les scientifiques, où sont les scientifiques aujourd'hui ?", faisant ainsi le constat de la lâcheté qui règne non seulement dans le milieu qu'il connaît, mais pointant aussi, plus largement, il me semble, celle qui règne dans la sphère des "sachants", de ceux qu'on appelle les intellectuels avec ce brin de révérence qui subsiste d'un temps révolu : scientifiques, philosophes, écrivains, comédiens, artistes de toute nature, qui furent longtemps la vigie archétypale des valeurs et moyens de la démocratie ; parce qu'ils étaient les vulgarisateurs de leurs domaines de compétence et, par cela même, garants du partage du savoir – qui est le premier des pouvoirs. Force est de constater que ces intellectuels-là ont disparu en France depuis qu'au début des années Mitterrand, Jack Lang a parti-socialisé la culture, après une quinzaine d'années de normativisation universitaire. Force est de déplorer que les "intellectuels" qui ont façonné le monde occidental, se sont progressivement couchés, ou plutôt vendus depuis le début des années 1980, pour une bouchée de subventions et de passages télé, et l'on se demande où est passée la capacité de l'intelligence à limiter le pouvoir de la cupidité.

Car ce qui fut longtemps leur parole, cette parole libre et indépendante, inventive et sacrale, manque cruellement. Elle manque aux quelques-uns, des scientifiques pour l'essentiel (et c'est bien naturel puisque la crise actuelle est dite sanitaire), véritables veilleurs, qui osent tout de même se lever pour dénoncer l'immensité du scandale des restrictions et contraintes dont la doxa infiniment ressasse la nécessité, en ne s'appuyant que sur le discours qu'elle a émis la veille et qui confère cette impression déstabilisante de chaos et d'incertitude. Elle manque à l'esprit, pour lui donner du courage, en nous rappelant que nous ne sommes pas seulement un agglomérat d'atomes menacés d'obsolescence et de mort, mais que nous vivons – et notre corps aussi – des interactions de nos semblables et du monde en nous. Elle manque à nos gouvernants, pour leur rappeler qu'ils ne sont pas là pour jouer avec les nerfs de leurs concitoyens avec des menaces d'enfermement, des fausses nouvelles et des litanies de chiffres, mais pour leur préserver un cadre rassurant, pour organiser une société d'hommes libres où chacun puisse construire pour les autres et pour soi. Elle manque, cette parole indomptable, pour nous rappeler que notre premier moteur est l'espérance et que notre premier devoir est d'espérer, et que nous ne nous tenons debout en ce début de 21e siècle que d'y avoir été invités par tous ceux qui ont espéré avant nous ; ceux qui ont aimé assez la vie pour nous concevoir malgré la perspective de la mort en chacun ; ceux aussi qui, parfois, souvent dans l'histoire, se sont sacrifiés pour que nous soit léguée par-dessus tout la liberté dont ils rêvaient.
 

Oui, cette parole manque. Que des brevetés "intellectuels d'aujourd'hui", tel Raphaël Enthoven dans une émission de télévision récente[5], puissent proférer ce genre d'abjection : "J'étais partisan d'une vaccination obligatoire, à partir du moment où celui qui considère que le vaccin est dangereux pour lui, vous ne pourrez jamais le convaincre du contraire, alors autant ne pas le laisser dangereux, ne pas le laisser en liberté avec son virus non vacciné.", sans déclencher d'autre réaction que l'acquiescement connivent de son hôte (Éric Naulleau, autre "intellectuel" d'aujourd'hui) en dit long sur la manière dont l'opinion est, par ceux qui devraient ouvrir son horizon, littéralement forgée pour aboyer avec la meute et finalement désespérer lorsque, comme en nos pandémiques heures, l'horizon est bouché par une chape de plomb d'interdits et de ruines.


"Les jeunes sont les véritables sacrifiés, dans cette crise", constatait un commentateur radio, juste après qu'on a appris la défenestration suicidaire d'un étudiant lyonnais, le 9 janvier dernier. J'ai immédiatement pensé que oui, en effet, les jeunes étaient plus sacrifiés encore que les restaurateurs, que les hôteliers, les barmen, les patrons de dancing et de salles de sport, les pisteurs, les moniteurs de ski, les comédiens, danseurs, chorégraphes, réalisateurs, même, les vendeurs de jouets, de vêtements, de chaussures, les routiers qui ne peuvent plus s'arrêter pour manger en compagnie et au chaud ni se laver, … Ça en fait, des sacrifiés, ça en fait des raisons de manifester sa colère, mais c'est interdit, et puis ce serait mettre en danger nos anciens, ça ne serait pas responsable, du moins on nous le dit et pas une voix ne s'élève parmi les philosophes, les auteurs, parmi les gens du show-business ni les députés, pas une voix ne s'élève pour déboucher l'horizon ! On se contente plutôt, bien vite et systématiquement, tel mon commentateur radio, de modérer le constat : "Enfin, "sacrifiés", il faut relativiser, il y a eu des époques où les sacrifices demandés étaient bien plus radicaux, bien plus difficiles…" Les points de suspension, qui dans sa voix tendaient à suggérer que les vraies guerres, c'était bien pire, assertion que j'ai failli partager, m'ont au contraire fait réaliser que non, le sacrifice auquel on oblige en ce moment nos jeunes gens n'est absolument pas moindre que celui de les envoyer même à la boucherie de 1914, même en Indochine ou en Algérie, et il est à coup sûr pire que de les pousser à prendre le Maquis ou à rejoindre la France Libre en 1940 – parce qu'aujourd'hui, le sacrifice qu'on leur demande est totalement passif, sans justification de grandeur collective ni individuelle, sans aucun horizon hors celui, nombrilique et pas du tout altruiste, d'épargner des vies embaumées par la trouille et qu'on n'est même pas autorisé à embrasser, sous peine de les contaminer peut-être, alors que ce seul souci condamne ces vies à être déjà mortes de solitude dans leur illusoire et inutile santé.

Le sacrifice de leur jeunesse réclamé à ceux qui sont précisément nos jeunes, temps et désir, rêve et sang, est effectivement énorme et pas du tout en rapport avec le bénéfice que pourra jamais en retirer un seul hypothétique agonisant, parce qu'un sacrifice, comme le mot le proclame, doit être sacral et que le confinement sous peine d'amende ne l'est pas.
 

Il est temps de permettre une perspective politique à ces jeunes gens, et au-delà d'eux, à notre société toute entière. Mais imaginer encore, après tous les trafics qu'ont inventés nos gouvernants et leur technocratie, que nos élus futurs soient bien nos représentants et non ceux des mercantis qui les soudoient et qui ont acheté tous les moyens de la propagande (y compris la législation) ; imaginer que puissent sortir des urnes, en 2022 ou a fortiori à l'occasion des prochaines élections régionales, des chevaliers blancs à la place des habituels thuriféraires du pouvoir, me paraît un vœu insoucieux et collectivement morbide. Nos saigneurs ont aujourd'hui sur nous bien plus d'une longueur d'avance, et ce en partie grâce à la manière dont ils ont géré la crise sanitaire, uniquement à leur profit. En France mais aussi dans le reste des nations du G20 et de quelques autres, ils ont profité du SARS-CoV-2 pour écraser le réveil des peuples qui était en train d'advenir, et dont la révolte française des Gilets Jaunes avait été le détonateur. Ceux qui croient encore à la bonne foi de nos dirigeants ne devraient pas oublier cette vérité toute simple : s'ils étaient, autant qu'ils le répètent, soucieux de notre bonne santé, ils n'auraient pas découragé la prescription d'hydroxychloroquine puis organisé sa rupture de stock et maintenu son interdiction alors que tout démontre au pire son innocuité, au mieux son utilité dans le traitement du Covid-19. Ils s'empresseraient aussi de faire connaître et de recommander l'ivermectine, au lieu de tout miser sur les bienfaits de vaccins tellement novateurs que leurs effets secondaires n'ont pas été testés sur la durée, et qui ne seront probablement un bénéfice qu'aux plus de 75 ans, sans arrêter la transmission ni les variations d'un virus bien moins létal pour la population générale que ne l'est la rougeole pour les enfants de moins de cinq ans[6].


Annonçant la révolte des peuples du G20, les Gilets Jaunes avaient compris ce que la caste des intellectuels d'aujourd'hui et autres intermittents de la pensée subventionnée ne sont plus capables de concevoir : il faut passer outre la parade de cour qui sévit sur des plateaux TV et radio dévorés par la corruption et, même si c'est regrettable, ne plus compter sur les institutions désormais dévoyées de la 5e République, quand ses représentants qui ne sont plus les nôtres ont plié le genou devant la "gouvernance" mondialisée de la finance. Il faut peut-être même, comme Maurice Blanchot et Dionys Mascolo n'ont pas eu peur de le faire en 1960, appeler toutes les forces encore vives de notre pays à l'insoumission, en espérant qu'il se trouve en France encore au moins 121 leaders d'opinion capables de se faire l'écho militant d'un tel appel[7]. Il faut en tout cas n'avoir pas peur de s'opposer à la débâcle en cours et, sans se réfugier dans des interrogations séniles du genre "on sait ce qu'on a, on ne sait pas ce qu'on pourrait avoir", s'engager résolument dans la restauration du monde et l'invention de l'amour à venir.





Notes :

[1] reinfocovid.fr/science/test-pcr-justice/

[2] aimsib.org/2021/01/10/ivermectine-dans-la-covid-de-la-parole-aux-actes/

[3] Sur le sujet, on pourra relire Crépuscule, de Juan Branco, paru au plus fort de la crise des Gilets Jaunes en décembre 2018,
notamment les pages 6 à 12 de cette version en téléchargement libre :  gillesclement.com/fichiers/_communique_02518_macron-et-son-crepuscule-3.pdf


[4] youtube.com/watch?v=K1bfbl-QD-U&feature=push-fr&attr_tag=7LgzWGJ_hqDjLeRe%3A6

[5] Z&N 13 janvier 2021

[6] unicef.fr/article/plus-de-140-000-deces-dans-le-monde-dus-la-rougeole-en-2018

[7]
 fr.wikipedia.org/wiki/Manifeste_des_121







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Article 3

Transmission personnelle le 14/02/2021 d'un article par Alain SAGAULT
Sites : http://www.sagault.com/Le globe de l'homme moyen
 






Image de regard dans ondes concentriques, symbole de manipulation mentale.

Affiche bleue intimant port obligatoire de masque dans rue.


MATRAQUAGE MÉDIATIQUE ANXIOGÈNE
 
 
LETTRE OUVERTE D’UNE PSYCHOLOGUE
 

Une source : https://www.arianebilheran.com/post/message-de-laurence-leroy-psychologue
"Message d’une collègue sur la situation présente, mis à jour : 24 nov. 2020.
Texte reproduit avec l’autorisation de l’auteur, Laurence Leroy, psychologue (www.danse-intuitive.com)
"

En tant que psychologue et citoyenne, je me dois de prendre la parole et invite mes collègues thérapeutes, psychologues à témoigner des dégâts psychiques que créent cette ambiance anxiogène, ces injonctions contradictoires organisés autour du COVID19. Se taire relèverait de la non assistance à personnes en danger et de complicité à la détérioration de la santé mentale des personnes.


Lettre ouverte au Président, au Ministre de la santé et collaborateurs en tout genre, médias, personnels soignants, éducatifs, aux parents, aux citoyens, etc.


Par le matraquage médiatique anxiogène, mortifère, par la non prise en compte des observations recherche et analyses médicales des plus grands professeurs reconnus au monde, par les injonctions paradoxales et contradictoires, par les passages en force pour la mise en place de lois liberticides votées sans parlementaire, par les censures de plus en plus nombreuses, par les interdictions faites aux médecins de soigner librement, par les mesures barrières empêchant les professionnels de l’éducation à exercer correctement leur travail, par les mesures sanitaires surinvesties et le climat morbide nourri chaque jour, nous participons à la DÉGRADATION DE LA SANTÉ PSYCHIQUE DE CHAQUE PERSONNE.


Cette ambiance anxiogène participe à aggraver des troubles psychiques ou des pathologies existants telles les phobies, les troubles obsessionnelles, compulsifs, les troubles hypocondriaques, nosophobiques, la paranoïa...

La distanciation sociale participe activement à renforcer les dépressions par le biais de l’isolement, du repli social, la réduction des liens sociaux, la défiance, la culpabilité.

Le contexte alarmiste participe activement à la hausse des suicides en installant une nouvelle norme désaffectivée, déshumanisée.

En rappelant chaque jour depuis 7 mois un présent et futur insécurisants, en créant de faux débats concernant les médicaments, le port du masque en stigmatisant les uns et les autres, il se crée des clivages sociaux, une division des personnes, une intolérance aux libertés de penser et se positionner.

En entretenant des informations alarmistes et morbides, sont favorisés des symptômes de plus en plus nombreux chez des personnes et enfants qui étaient en pleine santé : peur excessive de la mort, angoisse de mort, trouble du sommeil, carence affective, détresse psychique entraînant des processus de compensation (troubles alimentaires, augmentation des écrans, conduite additive), anxiété, phobie scolaire, troubles des apprentissages, décrochage scolaire, consultation compulsive et obsessionnelle des informations, focalisation sur le corps du moindre signe de maladie, TOC.

En cultivant le doute, la peur, les informations toxiques, on apprend à nos enfants, la peur du monde extérieur, la peur de l’autre mortellement dangereux, la peur de se sentir porteur sain ou contagieux avec pour seul issue de se vivre « mauvais objet », entraînant toutes sortes de symptômes et somatisations.

Par le confinement, a été fragilisée, la régulation des interactions sociales ; en plongeant les uns dans une promiscuité permanente et nocive, les autres dans une solitude désespérante.

Par le port du masque et la distanciation sociale, cela participe à insécuriser nos enfants, en faisant obstacles à la relation directe et spontanée à l’autre, par la perte de repères et d’information sur ce que l’autre ressent.

En brandissant chaque jour le spectre de la 2ème vague, laissant planer la menace du danger imminent et partout, cela participe à ébranler la sécurité interne de chaque personne.

Les paradoxes et contradictions entretiennent la confusion entre fantasme et réalité.

Par des décisions arbitraires, des milliers de personnes ont été privées d’accompagner leur proche, leur parent en fin de vie, des dernières paroles échangées, du soin du corps de leur défunt, de rassemblement chaleureux et soutenant indispensable au processus de deuil laissant place à un trauma immense et irréparable, à une douleur criante et sourde d’avoir été dépossédé de tout droit d’être présent et aimant. Des complications du processus de deuil risquent de s'en ressentir.

Dans des termes plus techniques, en entretenant la peur chaque jour, en distillant une dose massive de stress quotidien, cela favorise des troubles neurobiologiques affaiblissant système limbique, système nerveux central, chargés de réguler le stress, les émotions, le « faire face ». Cela détériore la capacité interne des personnes concernant le processus de régulation pour maintenir l’équilibre malgré les contraintes externes.

Par cette surdose de stress et de contradictions, il s'en trouve endommagé les capacités à penser, les capacités de liaison et d’élaboration.

Tout ce climat d'extrême défiance participe au renforcement des mécanismes de défense : clivage, projection, déni, évitement, blocage, etc.

On pousse insidieusement les citoyens aux passages à l’acte qui ne seraient que des tentatives de dégagement d’angoisse envahissante ou des décharges de tension interne trop importante face à une gestion politique incohérente, arbitraire et maltraitante.

« Désaccordages » des liens interpersonnels, « processus de déliaison » peuvent se mettre en place en installant la défiance à l’autre.



OBSERVATIONS CLINIQUES DES GOUVERNANTS


J’observe un comportement tyrannique à l’égard des citoyens et professionnels par le biais du contrôle, de l’intimidation et de la censure relevant de structures pathologiques.

J’observe une volonté de vouloir imposer une pensée unique à laquelle tout le monde devrait adhérer sous peine de menace et sanction.

J’observe un comportement de toute puissance, s'auto-proclamant « état thérapeute », se permettant de passer au dessus des lois, des médecins, bafouant serment d’Hippocrate et codes de déontologies.

J’observe derrière des mesures, qui se voudraient apparemment sécuritaires, des manipulations multiples à travers la désinformation et les injonctions contradictoires , avec une volonté délirante et perverse sur les personnes pour qu’elles surestiment la gravité de la situation au profit de la perte de confiance dans leur capacité à faire face (à travers prendre soin de soi).

J’observe une volonté de renforcer les culpabilités et la stigmatisation de toute personne pensant autrement.

J’observe une absence totale de sens critique, de remords, une volonté de convaincre sans rapport avec la réalité.

J’observe des passages à l’acte sur les professionnels, les parlementaires, les citoyens (en les excluant de droit de regard et d’opposition), les censures, contrôles, sanctions.

J’observe une volonté d’assujettir, d’infantiliser les personnes passant par le biais des blessures et failles psychiques, des peurs et angoisses primaires de survie, menace d’annihilation, confusion émotionnelle, peur primitive de la cruauté, sidération, persécution, la culpabilité des personnes.

J’observe une dimension persécutive à travers la destruction de sens et de significations des mesures posées, un attachement à une idéologie politique pour un monde d’hyper contrôle.

J’observe une séduction narcissique à travers des discours flatteurs quant à notre obéissance déguisée en responsabilité, solidarité, une séduction narcissique derrière une apparence de bienveillance du sauveur, une fausse attitude compréhensive, toutes ces mesures étant pour notre bien évidemment…

J’observe une absence de morale, de culpabilité.

J’observe l’usage du mensonge répété malgré l’évidence des comptes rendus de nos spécialistes et médecin, pneumologues etc, l’usage de la menace, du chantage, du mépris des autorités médicales

J’observe une absence d’affect au profit de l’intellect et du calcul.

Ces comportements relèvent de structures pathologiques.

 

AUX CITOYENS


Comment comprendre ce silence assourdissant des professionnels de la santé, cette soumission collective, cette acceptation de l’indicible, de la maltraitance de nos aînés, nos enfants et nous-mêmes, ce renoncement à nos droits et liberté, cette absence de colère ?

Comment certains soignants peuvent-ils encourager le port du masque, étant les mieux placés pour savoir les risques d’infections pneumopathiques que cela peut entraîner comme l’énoncent nos pneumologues ?

Comment les enseignants, d’habitude si réactifs, acceptent-ils d’enseigner dans ces conditions avec la boule au ventre ?

Comment peut-on ignorer ou faire la sourde oreille à autant de signes grossiers pointant les incohérences qui devraient nous pousser à mieux nous informer ?

La population serait-elle atteinte du syndrome de Stockholm ?

Est-ce la seule conséquence de manipulation perverse et organisée ?

Est-ce le résultat de ce lavage de cerveau minutieusement orchestré (jusque dans les pubs diverses de la télé remis au goût du jour avec les personnes masquées, les annonces et rappels de la présence de la maladie et leur contrainte dans tous les espaces publics , magasins, autoroutes, transports, par pancartes, messages vocaux, écrits images) venant toucher à nos peurs primaires les plus archaïques liées à notre survie, à la peur de mourir, à la peur du rejet, à la peur de perdre son travail, à la peur d’être pointé du doigt, de n’être plus reconnu par ses pairs, à la peur de contaminer ?

Les gouvernements, dans leur valeur symbolique, représenteraient un peu le statut du « bon parent » dans lequel on a besoin d’avoir une confiance absolue, besoin de sécurité, de soutien de compréhension, de protection et envers lequel on se doit une certaine loyauté. Serions-nous encore piégés dans cette alliance au point de nous taire ?

Envisager, admettre, reconnaître que le parent ne soit pas « bon et bienveillant » est souvent inenvisageable pour le cerveau humain, le psychisme ; car [cela] constitue une menace d’effondrement psychique, d’éléments dépressifs, de désillusion trop forte et insupportable…


Aussi, je demande aux gouvernants de faire cesser ces pressions, intimidations, contrôles massifs des professionnels et citoyens à coup de menace de radiation, de sanction administrative ou pénale et de reprendre leur juste place.

Je demande que cesse toute cette maltraitance psychique, détériorant la santé mentale et par conséquent la santé physique des personnes.

J’encourage tous les personnes à reprendre la parole afin de sortir de « la parole associée à un danger », à reprendre leur pouvoir de penser, de s’informer autrement, de choisir, de se positionner.

J’encourage les personnes à prendre soin d’elles, à récupérer leur joie de vivre pleinement sans restrictions arbitraires à l’heure où on voudrait nous faire culpabiliser de prendre du plaisir.

J’encourage les personnes à s’aimer, partager, échanger, se soutenir, vivre, j’encourage les personnes à se sentir à nouveau ensemble dans la solidarité.



Laurence LEROY
Psychologue clinicienne & Art-Thérapeute
Praticienne en Guidance Informationnelle
C.R.E.ART'CORPS : Création Relation Émotion Art Corps
https://www.danse-intuitive.com/








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Article 4

Envoi personnel du 31 janvier 2021 d'un article par Fred BOUTET
Site : http://www.p-plum.fr/






Affiche d'interpellation : une exaspération qui dénonce fous et cinglés...

Image animée, humoristique, d'un buste de vache, symbole pour animaux d’élevage.


LA MACHINE QUI FAIT DE NOUS DES ANIMAUX D'ÉLEVAGE
 
 
 

Source : http://p-plum.fr/spip.php?page=article&id_article=408

Dimanche 31 janvier 2021

En octobre 2020, les dirigeants de l’Organisation Mondiale pour la Santé ont estimé que les gouvernements devraient cesser d’appliquer des mesures de confinement, sauf en cas de “dernier recours”, car les effets secondaires sont trop importants : sur la santé mentale, des dépressions, de la solitude, des violences conjugales, des faillites massives d’entreprises, une détérioration des conditions de vie à l’école, une baisse du dépistage et du traitement des autres maladies comme le cancer(1)...

Mais quel grand savant en médecine, sciences physiques et sciences naturelles, faisant partout la fierté nationale, a dit le 29 octobre 2020 : « Le Conseil scientifique a évalué les conséquences d’une telle option [l’immunité collective...]. À très court terme, cela signifie le tri entre les patients à l’hôpital. Et d’ici quelques mois, c’est au moins 400.000 morts supplémentaires à déplorer » ?(2)

Ce ne peut être qu’un grand pour en arriver à une telle confiance en soi : contredire les experts de l’O.M.S. et faire des annonces d’apocalypse sorties du chapeau. Réponse : c’est le président de la République du moment : Emmanuel Macron !

À quoi jouent-t-ils le Président et son « conseil scientifique » ? Ils jouent à fabriquer une grande machine. A quoi sert-elle cette grande machine ? A maîtriser la circulation du virus SARS-CoV-2, comme le trafic routier.

La machine est constituée de circulaires, de pleins pouvoirs, de décrets, de formulaires, d’organigrammes, de commandes en ligne, de capteurs, de passations de marchés, de promesses d’embauches, d’algorithmes, de big data center, de graphiques et de titres alarmistes.

C’est complexe mais justement, c’est ça qui est excitant pour eux. Cela fait intervenir l’humain, avec son penchant irrationnel, voire même – horreur – spirituel. C’est un sacré challenge qu’ils s’auto-imposent, tout excités qu’ils sont de se créer un marché en pleine croissance. Sacrée machine, sacré défi !

Et que fait-elle cette machine ? Une de ses fonctions principales est de retransmettre l’évolution de « l’épidémie », comme un match de football. Dans la salle du « conseil de défense sanitaire » : la machine procure une carte de France sur laquelle chaque pixel rouge représente un test positif à la covid-19. Ça évolue en temps-réel, c’est ça qui est rassurant.

Le Président et sa succession mettent en place des incitations financières pour dépister la covid-19 et pour dénoncer les « cas contact », mettent en place un confinement, un masque obligatoire, un couvre-feu, une campagne de « vaccination » remboursée, et observent comment ça réagit sur la carte.

Ils font comme « l’intelligence artificielle » : ils apprennent de leurs erreurs. Pas con ! Cet oxymore a de l’avenir en bourse.

Tout le monde reste béat d’admiration devant tant de dévouement pour les plus fragiles, devant tant de moyens déployés, en milliards, avec le concours des militaires pour la noble cause de sauver des vies. Et tout le monde de trouver cela normal de sacrifier toutes les libertés fondamentales pour sauver des vies : si tout le monde respectait correctement les mesures demandées, on en sortirait plus vite... On sortirait plus vite de quoi ? On attend de n’avoir plus aucun point rouge sur la carte ?

Dans le journal « La décroissance » de février 2021, il y a une interview d’une philosophe, Alexandra Laignel-Lavastigne(3), qui après Olivier Rey(4), s’attaque à ce culte de la vie nue. La vie est un bien précieux certes. Mais s’il n’y avait que la vie, dit-elle, « il n’y aurait pas eu des générations de gens sur des barricades pour une certaine idée de la vie ».

J’en reviens toujours au même sujet en philosophie politique : la liberté et la sécurité s’opposent(5). Doit-on sacrifier toutes nos libertés pour être en sécurité ? Nous devons tenter de sauver des vies du covid-19, assurément. En obéissant à leur désir de machine ? Alors là non !

Ces gens croient qu’ils peuvent mettre le monde naturel dans une boîte bourrée de composants Foxxcon qui fonctionne sur 230 Volt alternatif et qui apprend toute seule. Ils se défendent d’avoir un « Dieu » comme les monothéistes. Mais ils croient en l’intelligence artificielle ! Il n’est pire croyant que celui qui croit qu’il ne croit pas. Il n’est pire fanatique que celui qui est dans le déni de son mysticisme.

Après des siècles d’obscurantisme catholique que nous avons connu ici, après avoir connu et résisté aux attentats de fous islamiques dans nos villes, nous n’allons quand même pas obéir aveuglément à des gens qui, cette fois-ci, ont pour Dieu, la technologie !

Le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a dit : « De toutes les solutions dont nous parlons, il y aura un facteur ultime qui décidera, au-delà de notre coopération à tous [l’ONU et Israël]. Et ce facteur unique, c’est la technologie. La technologie nous donne la possibilité de faire l’inimaginable »(6).

Ce n’est pas être violent que d’être dégoûté des fanatiques.

Nous nous laissons gouverner par eux. Nous ressemblons de plus en plus à des animaux d’élevage, désolé d’être si cru. Dans la relation avec ses bêtes, un éleveur commence toujours par : « vous dormirez ici, mangerez là et mettrez bas ici-bas. Puis à cet endroit, vous prendrez vos traitements et enfin nous prendrons la production qui nous intéresse dans cet espace ». C’est un confinement : les déplacements libres, non prévus dans le plan de production, sont interdits aux animaux d’élevage.

Ce n’est certes pas nouveau que l’État veuille contrôler jusqu’au moindre détail de notre vie intime ; car l’État c’est la conquête(7). Depuis les années 1950, il n’y a plus de guerres à mener aux frontières, alors l’État est parti à la conquête de « l’ennemi intérieur »(8). Avec la numérisation de toute activité, les institutions vérifient ce que vous êtes en train de faire… Et de penser(9) ! La technologie et l’esprit de conquête ont créé le crédit social chinois, son extension au monde entier est en train de s’opérer.

Notre défense consisterait à remettre dans le champ politique ce qui est présenté, dans le calme d’une interview élyséenne, comme une décision indiscutable parce qu’auto-proclamée « scientifique ». L’immunité collective naturelle est une option politique qui se combat avec la férocité de la panthère défendant ses petits ! Nous sommes capables de nous libérer des paroles des curés de la technologie. Les inconvénients du progrès technologique ont largement dépassé ses avantages(10) et depuis longtemps !

Ces fous furieux pensent qu’une fois que je serai en camp d’internement, leur vie sera meilleure, plus facile. C’est une erreur. L’histoire l’a montré. Je crois que nul ordre pérenne ne peut résulter du cannibalisme(11).

Nous rebondissons donc de traumatismes en traumatismes. Notre vérité finira par reprendre le dessus et créer un monde joyeux de se contenter de ce qu’il a sur Terre, matériellement et spirituellement. Nous y travaillons et c’est déjà une grande joie de le faire.

« Laissez longtemps agir la nature, avant de vous mêler d’agir à sa place, de peur de contrarier ses opérations. »(12).


Fred BOUTET
alias "Puissance Plume",
Argentat, le 31 janvier 2021
 http://www.p-plum.fr/


Notes :

(1) Interview de David Nabarro, envoyé spécial de l’OMS pour la covid-19 le 9.10.2020 : twitter.com/spectator/status/1314573157827858434?s=20
et Hans Kluge directeur de l’OMS Europe le 13.10.2020, : twitter.com/DarrenEuronews/status/1316028506560626688

(2) Adresse aux Français du 28 octobre 2020 – site de l’Élysée  : elysee.fr/emmanuel-macron/2020/10/28/adresse-aux-francais-28-octobre

(3) Alexandra Laignel-Lavastigne "La déraison sanitaire. Le covid-19 et le culte de la vie par-dessus tout". Le bord de l’eau 2020.

(4) Olivier Rey « Une question de taille » Stock 2014 ; Olivier Rey « L’idôlatrie de la vie ». Tract Gallimard. Juin 2020

(5) Bernard Charbonneau « Je fûs » texte 1950, Editions Opales 2000 ; Bernard Charbonneau « Quatre témoins de la liberté : Rousseau, Montaigne, Berdaiev, Dostoïevski » Editions R&N 2019

(6) Benyamin Netanyahou dans la vidéo de Rav Amnon Itshak « Bibi nous a vendu » octobre 2020 :  youtube.com/watch?v=9dDNDsmFj_E

(7) Bernard Charbonneau « L’État » texte original 1947, disponible chez R&N 2020

(8) Mathieu Rigouste « L’ennemi intérieur - La généalogie coloniale et militaire de l’ordre sécuritaire dans la France contemporaine » La Découverte juin 2011

(9) Voir une circulaire expédiée aux directeurs d’établissements scolaires en janvier 2021 .../... [ se reporter à l'article en ligne : p-plum.fr/spip.php?page=article&id_article=408 ]

(10) Célia Izaord « Le totalitarisme numérique de la Chine menace toute la planète » : reporterre.net/Le-totalitarisme-numerique-de-la-Chine-menace-toute-la-planete ; 6 janvier 2020 ;
Célia Izoard « Merci de changer de métier, lettre aux humains qui veulent robotiser le monde » Editions de la dernière lettre, 2020.

(11) Jack D. Forbes « Christophe Colomb et autres cannibales » Le Passager Clandestin - novembre 2018

(12) Jean-Jacques Rousseau dans « Emile ou De l’éducation » (1762).







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Article 5

Envoi personnel du 30 janvier 2021 d'un article par Guy CREQUIE
Blog : https://guycrequie.blogspot.com/





Image animée de seringue pivotante, un bout bleu.

 Logo bleu de la Sécurité sociale française.


CONSTATS SUR L’ORGANISATION VACCINALE EN FRANCE
 
 
 


L’ORGANISATION DE LA VACCINATION EN FRANCE POUR STOPPER LA PANDÉMIE A PRIVILÉGIÉ : LE PRINCIPE DE LA LIBERTÉ SELON SES POSSIBILITÉS ET SA CHANCE, AU DÉTRIMENT DES PRINCIPES D’ÉGALITÉ ET DE FRATERNITÉ !


Sans entrer dans la polémique des raisons du retard de la vaccination en France = les retards d’achats par l’UE (Union Européenne) et leurs conditions d’achats non transparentes, l’insuffisante diversité des fournisseurs, la dégradation de la recherche-développement en France à l’exemple de la situation chez SANOFI /PASTEUR.

Exemple : Sanofi a annoncé en juin un plan de suppression d’emplois de 1700 postes dont 400 dans la recherche-développement.

Il est aussi constaté l’insuffisante synergie entre la recherche du secteur public et celle du secteur privé !

Sans entrer dans la situation des EHPAD et la lourdeur du processus mis en œuvre, s’agissant des personnes de 75 ans et plus, vivant au domicile, l’organisation de la vaccination a été plus que surprenante ! OUI : la tâche du gouvernement est difficile, compliquée par un virus qui mute, dont on ne connaît pas tout. Il serait de mauvaise foi d’en contester la réalité, mais à écouter le ministre de la santé, le Premier ministre, et notre Président = aucune humilité = ils sont contents d’eux, tout a été fait au maximum !

Pour cette vaccination, le gouvernement a laissé la concurrence jouer ! Ainsi, ce fut la course sur les numéros de téléphone indiqués ou sur les sites d’inscriptions. Les plus chanceux, les plus habiles, et les plus disponibles, y sont parvenus. D’autres ont profité de l’organisation par leur ville de contacts au domicile ou de l’inscription organisée par leur médecin généraliste. Pour d’autres enfin = leurs enfants s’en sont occupés, y compris avant les fêtes de fin d’année pour les inscrire en liste d’attente ! Ainsi, même pour la santé, faute de vaccins suffisants pour la demande, le chacun pour soi devait l’emporter pour trouver une place !

Une fois encore, les plus faibles, les plus fragiles, ont été délaissés : celles et ceux, malades au domicile, indisponibles pour les démarches, sans enfants disponibles ou de proximité ; aussi celles ou ceux privés d’Internet ou sachant peu s’en servir !


Alors, me dira-t-on : assez de critiques, vous auriez fait quoi ?

Humour : d’avoir organisé des manifestations dans les années 70 et 80 m’a sans doute laissé des souvenirs ?

Il suffisait de confier à l’ Assurance maladie, la responsabilité d’organiser cette vaccination par tranche d’âges, en débutant par les 90 ans et en finissant par les 75 ans, par des convocations ciblées avec contact pour confirmer ou refuser ! Ainsi = plus la course sur Internet ou au téléphone !

Le principe d’égalité [eût été] respecté, toutes les personnes de la tranche d’âge invitée, recevant la proposition de vaccination.

Également, celui de fraternité [eût été] respecté ; puisque les plus fragiles ([personnes] âgées) étant conviées en premier, sans choix, exclusion, ou débrouillardise. Libre ensuite aux intéressés d’accepter ou non la vaccination.

Après, au printemps 2020, les péripéties du gel, de l’absence de masques, de l’échec des tests, celui de la vaccination semble être dans la continuité.

Le Ministre de la santé a parlé de 70 millions de Français vaccinés d’ici la fin de l’été (nous sommes 67 [millions]) mais son pronostic semble hasardeux ! Espérons, que d’autres vaccins homologués viendront s’ajouter aux 2 en cours.

Cependant, les enjeux politiques et économiques, selon la relation avec les grands groupes pharmaceutiques, influenceront les choix.
 

Le gouvernement par la voix du Premier ministre ce vendredi 29 janvier a renoncé au confinement dans l’immédiat !  Cette étonnante déclaration tient compte du retard dans la vaccination et des situations économiques et sociales, dramatiques, pour nombre de professions ; ainsi que de la déprime constatée et accentuée parmi la jeunesse, notamment au sein du monde étudiant. Le gouvernement compte sur la sagesse des Français comme sur certaines mesures contraignantes aux frontières, la fermeture des grandes surfaces dites non essentielles (drôle d’appellation) pour freiner l’évolution pandémique.

Cependant, le gouvernement prend un risque politique compte tenu de l’aggravation de la pandémie avec les mutants et le retard dans la vaccination.

Les jours à venir vont compter pour le crédit de l’exécutif !

Soit ; le pari risqué du Président MACRON l’emporte, et il pourra se targuer le moment venu auprès des Français de leur avoir évité un nouveau confinement ; soit : le nombre de contaminations et d’hospitalisations s’accélère, avec son cortège de nouvelles victimes, et alors, la confiance dans sa politique et son gouvernement, déjà sévèrement altérée, [sera] plombée.
 


© Guy CREQUIE,
samedi 30 janvier 2021
Ecrivain observateur social,
https://guycrequie.blogspot.com/
Auteur récemment de
« Avec la pandémie de la COVID-19 (hâtons –nous de rendre la philosophie populaire et nécessaire) »
Éditions du Cordeau, décembre 2020








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Dernière modification : 26.02.21, 13:12:59